Le PSG balaye Kielce et s’assure au minimum une qualification pour les huitièmes de finale
Porté par la muraille Andreas Palicka et les coups de fusil d’Elohim Prandi, le PSG a nettement dominé Kielce sur la fin (35-26) et prend la troisième place du groupe A de la Ligue des champions. Ce succès lui assure au minimum une qualification en huitièmes.
En démonstration dans son antre de Coubertin, le PSG a décroché un succès éclatant face aux Polonais de Kielce (35-26), qui ont lâché prise sur la fin ce jeudi soir. Les Parisiens montent sur le podium du groupe A de la Ligue des champions et s’assurent au minimum une qualification pour les huitièmes de finale. Ils restent également plus que jamais dans la course aux deux premières places, directement qualificatives pour les quarts.
Sans deux de ses Français, Nicolas Tournat (touché à la cheville) et Benoît Kounkoud (mis à l’écart), le clan Dujshebaev et Kielce se rendaient à Paris pour affronter le PSG quatrième de la poule. Dans une rencontre partie à 100 à l’heure, les joueurs polonais prenaient la tête (3-0 à la 3e) avant la progressive mise en route parisienne. +4, c’est l’écart maximal que le PSG avait pu prendre en première période, bien aidé par les pralines d’Elohim Prandi (6 sur 7 au tir) et la muraille Andreas Palicka (19 arrêts à 42 % de réussite).
Palicka entre dans la tête des Polonais
Plus en difficulté avec l’entrée de l’Allemand Andreas Wolff (25e), l’écart se resserrait et les hommes de Raúl González voyaient Kielce grappiller les buts, revenus à une seule unité à la pause (15-14). Le rythme du match ne chutait pas d’un poil et la double parade de Palicka (40e) faisait office de tournant. Le portier suédois était rentré dans la tête des joueurs de Kielce, se donnant même le droit de marquer un but longue distance.
Les fulgurances de leur meilleur buteur Szymon Sicko (7 buts) et d’un Dylan Nahi (5 unités) remuant n’ont guère penché en faveur des deuxièmes du Championnat polonais qui repartent de la capitale les valises pleines.
« On savait qu’il fallait être prêts pour un gros combat pendant 60 minutes. On s’est battus ensemble tout du long, on a joué dur en défense, concentrés et à la fin ça paye, je suis très content », se félicitait Kent Robin Tönnesen, l’arrière droit parisien.
Talant Dujshebaev, l’entraîneur de Kielce, déplorait l’effondrement de ses joueurs sur la fin : « J’étais très content des 54 premières minutes, on s’est bien battus, on a réussi de belles actions. Mais les 6 dernières minutes sont à oublier, on n’avait plus d’énergie. »
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